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conférences


La 21e édition du SIEE-Pollutec, Salon International de l’Eau, des Énergies et de l’Environnement, s’inscrit comme un rendez-vous majeur pour les professionnels engagés dans la gestion durable des ressources naturelles et la transition écologique. Organisé par Symbiose-Communication-Environnement, cet événement phare confirme, depuis 2005, son rôle de plateforme stratégique de rencontre, d’innovation et de coopération entre les acteurs publics, privés et institutionnel s du secteur.
Dans un contexte marqué par l’urgence climatique et la nécessité de repenser nos modèles de développement, le SIEE-Pollutec’2026 met en lumière les solutions technologiques, industrielles et territoriales pour répondre aux grands défis de l’eau, de l’efficacité énergétique, de l’économie circulaire et de la résilience environnementale.
Un salon fédérateur et porteur de solutions
• Plus de 200 exposants, représentant un large éventail d’expertises et de savoir-faire.
• Une forte dimension internationale
• Un espace d’exposition riche en innovations, équipements, services et technologies durables.
• Un programme de conférences, forums et ateliers techniques réunissant chercheurs, décideurs, experts et professionnels autour de thématiques clés liés à l’eau, les énergies et l’environnement.

Dans le cadre du salon dédié à l’eau, aux énergies et à l’environnement, plusieurs forums thématiques seront organisés tout au long de l’événement. Ces espaces de discussion réuniront experts, professionnels, institutions et acteurs du secteur autour de sujets clés tels que la gestion durable des ressources, la transition énergétique, l’innovation technologique, ou encore les enjeux climatiques. Véritables temps forts du salon, ces forums offriront un lieu de réflexion, de partage de bonnes pratiques et de prospective pour construire ensemble des solutions durables.




Récompensons les pionniers de la transition écologique !
Dans le cadre du Salon Eau, Énergies & Environnement, nous lançons le Concours Innovation 2026 dédié aux entreprises et start-up qui façonnent le futur durable.
Ce concours met à l’honneur les solutions les plus novatrices dans les domaines de :
• La gestion durable de l’eau (traitement, recyclage, accès)
• Les énergies renouvelables et alternatives
• L’efficacité énergétique et la décarbonation
• La réduction des déchets et la valorisation des ressources
• Les technologies propres et la surveillance environnementale
Objectif
Valoriser les idées qui allient impact environnemental, viabilité économique et potentiel de déploiement à grande échelle.
À qui s’adresse le concours ?


GESTION DE LA RESSOURCE EAU
Traitement – Distribution – Assainissement – Dessalement de l’eau de mer
GESTION DES RÉSEAUX ET PERFORMANCE DES PROCÉDÉS
Canalisations – Pompes – Robinetterie – Irrigation
COLLECTE, NETTOYAGE, HYDROCURAGE
TRAITEMENT DES DÉCHETS
RECYCLAGE – RÉEMPLOI : MATIÈRES ET MATÉRIAUX
ENERGIE
Énergies renouvelables – Énergies conventionnelles – Efficacité énergétique –Valorisation énergétique
SITES ET SOLS POLLUÉS
RISQUES (PRÉVENTION ET GESTION)


– Stress hydrique structurel : L’Algérie est classée parmi les pays les plus exposés au stress hydrique, avec moins de 500 m³ d’eau douce par habitant/an, bien en dessous du seuil critique de 1 000 m³.
– Forte dépendance aux ressources conventionnelles : Les barrages et les nappes souterraines restent les principales sources d’approvisionnement, mais sont affectés par la variabilité climatique, la surexploitation et la pollution.
– Réponses stratégiques : L’État mise sur :
Le dessalement de l’eau de mer (objectif : 60 % de l’eau potable fournie par dessalement d’ici 2030).
La réutilisation des eaux usées traitées, encore marginale mais en développement.
La modernisation des réseaux hydrauliques pour réduire les pertes (actuellement autour de 30 à 40 %).

– L’Algérie est un grand producteur d’hydrocarbures (pétrole et gaz naturel), représentant plus de 90 % des exportations.
– La consommation intérieure d’énergie augmente rapidement, réduisant les capacités d’exportation.
– Les énergies renouvelables restent peu développées (moins de 2 % du mix énergétique), malgré un fort potentiel solaire estimé à plus de 3 000 heures de soleil/an.
– Le pays a adopté des plans de transition, avec l’objectif de produire 15 000 MW d’électricité renouvelable d’ici 2035, mais les investissements et la régulation doivent être renforcés.

– Pollution de l’eau et de l’air, érosion des sols, surexploitation des ressources naturelles, et dégradation de la biodiversité sont les défis majeurs.
– Les zones urbaines souffrent de gestion insuffisante des déchets et de la pression démographique.
– L’Algérie a lancé des plans de reboisement, de valorisation des déchets, et de lutte contre la désertification, mais leur mise en œuvre reste limitée par le manque de moyens et de coordination.