– Stress hydrique structurel : L’Algérie est classée parmi les pays les plus exposés au stress hydrique, avec moins de 500 m³ d’eau douce par habitant/an, bien en dessous du seuil critique de 1 000 m³.
– Forte dépendance aux ressources conventionnelles : Les barrages et les nappes souterraines restent les principales sources d’approvisionnement, mais sont affectés par la variabilité climatique, la surexploitation et la pollution.
– Réponses stratégiques : L’État mise sur :
Le dessalement de l’eau de mer (objectif : 60 % de l’eau potable fournie par dessalement d’ici 2030).
La réutilisation des eaux usées traitées, encore marginale mais en développement.
La modernisation des réseaux hydrauliques pour réduire les pertes (actuellement autour de 30 à 40 %).